jeudi 29 juillet 2010

bye bye ouaga

Stage termine en beauté, 10 jours de voyage inoubliables, retour en suisse dans 3 jours, tout va bien pour nous, nous profitons de nos derniers instants ici! en esperant que tout s est bien passe pour vous! pleins de beks

vendredi 16 juillet 2010

42 days later...

C'est fini !!!! Le temps est passe BEAUCOUP trp vite !
Bonnes vacances et bon retour a ceux et celles qui rentrent !!!
Les autres, bon voyage :D

mardi 6 juillet 2010

Maternité Malgache

Akiourabi (bonjour a tous)
Article sur la maternité de l hopital Be (Be qui veut dire grand... tout est relatif)

Mardi matin arrivée dans le service...visite du service et présentation de la salle d accouchement ou sous la plaque chauffante (non ce n est pas une cuuisine) un prématuré de 24 semaines et 800 grammes... toute petite crevette que nous voyons là! Le petit est resté quelques heures sans personne autour ce qui nous a beaucoup surpris surtout que chez nous un si petit prématuré nécessite une prise en chrge assez impressionnante comparé a ce que nous voyons ici. Nous avons été trés touchées par ce petit... donc nous avons offert du lait en poudre pour prématuré car les prix ici sont affolant si nous regardons le revenus moyen d un malgache. 100000ariary qui équivaut à 60 francs suisses et le pots est à 23000ariary un peu plus de 12 francs suisses. le lait en poudre est une denrée rare pour les gens d ici et en envoyer depuis l europe est toujours possible mais il reste des mois dans la capitale en attente d etre payer pour dédouaner et ceci coute excessivement cher.

Notre deuxième journée en maternité a comencer sur une note plutot triste pour nous et surtout pour une maman... nous sommes arrivées dans le service et un accouchement etait en cours nous avons attendu et obersver comment se passait le travail des sage-femmes. Les femmes de la famille s ocuupent de tout autour de la mer de la rincer a leau et les sage-femmes encouragent la femme en lui disant Alefa (aller en malgache). Au bout de 4 heures de travail pour la maman et 45 minutes ou nous étions là... le bébé arrive avec le cordon autour du cou... les menbres n avaient pas été irrigués depuis un moment semblerait-il et les sage-femmes font tout pour que l enfant respire... mais rien... l enfant a été alors recouvert d un drap au pied de la maman et les femmes autour laissaient couler des larmes mais la mère ne disait rien et n a pas vu son bébé. Nous avons appris par la suite qu il etait a 43 semaine de gestation.
Durant ce moment nous avons été très boulversées car beaucoup de monde passait etregardait le bébé et la mère avec des grands yeux. Que ce soit les femmes qui etaient dans la salle d accouchemenet (pour une autre patiente)ou les étudiants qui débarquaint a l i,proviste dans la salle. C ets un moment que nous n oublierons jamais a mon avis.

Ce qu il faut savoir c est qu a Madagascar les femmes à l accouchement ne démontrent aucune souffrance, ne crient pas et ne pleurent pas car ils disent que c est une honte pour la femme de se montrer faible... la femme est forte et doit le retser à tout prix. Alors je vous dit pas l image qu ils ont de nous les européens avec nos péridurale nos cris et nos pleurs... ahahah

Salomé a pu faire faire un enseignement a l aillaittement pour une mère qui a porter ses fruits après une demie heure... une belle satisfaction pour ma future sage femme préférée :)

Durant cette semaine nous ne pouvons pas ne pas parler du travail des étudiants en soins infirmiers du service... quelle expérience magique et très étonnante pour nous ahahah

Premèrement le matin ils font le tour de tous les patients pour prendre note de l évolution du jour pour après en faire la présentation au médecin... Mais le tour de lit ne sonne pas vraiment comme chez nous... ils ne disent pas bonjour au patient et ne regarde nis la mère ni le bébé pour voir s il y a quelque chose qui ne correspond pas avec le dosier!!!Par contre au niveau des connaissances dans les dosiers ils nous donnent pas mal d informations bien que la barrière de langue se fasse sentir. Les soins que le médecin préscrit est fait par les étudiants (étant donné qu ils sont 10 difficile pour nous de pouvoir enfiler les gants a leur place)... ils appliquent les soins avec les moyens du bord mais ne font pas d observation en plus... En tout cas nous avons pu voir un façon de faire qui nous a beaucup étonné... mais si on creuse il y a toujours quelquel chose à apprendre :)

Velouma tout le monde
(un mot qui nous a fait beaucoup rire que nous avons appris aujourd hui MALAKLAK qui veut dire Rapidement ahahah on aime surtout qu il est dificile à appliquer à Madagascar)

Elvire (ictère pour les intimes) et Salomé les Vaza de l hopital Be

samedi 3 juillet 2010

ouagadougou youhouuuu

Bonjour à tous, nous avons terminé notre 3ème semaine de stage en beauté par un accouchement, le premier pour la maman, non sans difficulté, le bébé est né après 45 min d effort et de ténacité, au final une jolie petite fille est né, elle fut prénommée camille ce qui ma beaucoup touché! Nous avons ensuite passé une semaine en chirurgie au bloc opératoire, la bas nous avons pu voir : l ablation d un fibrome uterin (hysterectomie totale), nous connaissions en plus le gyneco qui nous a commenté l operation et a repondu a nos questions, tres sympa! ensuite nous avons vu une cholecystectomie (ablation de la vesicule biliaire) par laparotomie, apres l abation le chirurgien n a rien trouve a redire sur la vesicule alors que les examens montraient une vesicule epaissie, avec des lithiases (calculs)! l aurait on enlevée pour rien? mystere est boule de gomme. nous avons aussi vu un curetage, une exerese au niveau du genou, une une thyroidectomie (une femme avec un goitre enorme!!!), l excision d un lipome immense au fessier! aussi une cure de hernie blanche. etant donne ke nous sommes dans un hopital prive, l hygiene et l asepsie sont dans les normes europeenes, pas de choc a ce niveau la! l equipe et les chirurgiens ont ete super avec nous, en 5 jours nous avons pu voir tant de choses, dcouvrir comment operent les chirurgiens, avec explications et demonstrations (films a l appui a notre retour! ainsi que des photos!!). L ambiance etait detendue et nous pouvions nous approcher pour observer! sinon nous avons fait la connaissance d une sage femme allemande tres sympa a la maternite, nous sommes devenues amies et aussi deux etudiants infimiers de france tres sympa aussi! nous sommes alles en ville avec eux ainsi qu elodie et eve qui au passage vont bien! 6 blancs dans la ville ne passent pas inapercus!
Nous allons toujours bien avec caro, bonne entente, beaucoup de rire et de moments partages qui nous rapprochent! nous prevoyons de partir voyager au sud du burkina des la fin de notre stage. une collegue du CREN nous a invite a son marriage, nous nous rejouissons d y aller!!!
nous vous embrassons tous tres fort !!!! salutations du burkina ou il fait bon vivre!!!
camille et caro

lundi 28 juin 2010

Akoury de Madagascar

Salama tout le monde, ici les Vaza Suisse de Madagascar!!!

Nous rentrons d'une semaine de brousse et nous en avons des choses à raconter.
Lundi 21 juin départ en taxi brousse (oui il ne faut surtout pas changer les bonnes vieilles habitudes)... après 6 heures de routes secouées dans tous les sens et une panne de 45 minutes nous voilà enfin arrivées dans le villages de Betioky ( qui se dit Betiouk et qui veut dire le grand vent)!!! Comme d'habitude en descendant du taxi brousse nous ne comprenons pas très bien ce qu'il se passe et nous sommes embarquées jusque chez les Soeurs de Saint Paul de Chartes un peu en dehors... Hop nous voilà reçues comme des princesses et après etre installées et à peine arrivées nous voilà dans le dispensaire à le visiter avec les soeus et une infirmières françaises. Nous voyons beaucoup de choses et essentiellement des enfants brulés au Fatapere (sur quoi les malgaches cuisent leur nourritures avecdu chqrbon de bois), des personnes atteintes de tuberculose, des enfant qui ont la gastro-entérite et des personnes atteintes du paludisme. Les consultations ne son pas faites par nous par soucis de compréhension (eh oui les gens ne parlent que le malgache dans la brousse). Il faut savoir aussi aue les infirmières à Madagascar prescrivent elles-memes les medicaments et surtout posent des diagnostiques.

Ce vendredi passé nous nous sommes rendues dans un village encore plus petit que celui dans lequel nous nous trouvions (a peu près 5 maisons aux alentours) et avons remplacé l'enseignant (on sait pas trop ou il etait, mais ça ne semble pas l'avoir dérangé que des Vaza enseignent à sa place)... Nous en avons reçu pleins les yeux et pleins le coeur en l espace d'une journée : entre l'enseignement, les consultations, un accouchement (dans l'hopital voisin et le premier pour Elvire..) et des enfants pleins de joie et de gaieté!!!

Ce Samedi nous avon vécu les 50 ans de l'indépendance d Madagascar avec défilé des enfants scolarisés avec l'hymne de Madagascar en boucle et la chanson de l'indépendance... le maire nous a même adresser quelques mots pendant son discours officiel (bon vous allez dire 2-3 Vaza dans la foule ça passe pas inaperçu)

Nous qui pensions les Sœurs tres "coincées" nous avons été surprises par leur ouverture d esprit... bah oui une Sœur qui boit de la bière à l abris des regards certes...) ça choque!!!!


En une semaines nous avons reçu beaucoup d choses tant sur le plan matériel mais surtout émotionnel..Les semaines défilent et nous ne savons pas ce qui nous attend... mais je sens que nos cœurs n'ont pas fini de grandir !!!

Velouma les gens à bientot...

Salomé et Elvire (par la même occasion sachez qu' Elvire revient avec un nouveau surnom donner par une Soeur : Ictère... c'est vrai qu'Elvire est plus difficile à prononcer...)

Bạn có biết nói tiếng Việt không ?

Nous toujours pas (pour les volontaires qui s'ennuient).

Salut à tous, déjà la semaine 4, ça passe super vite !!! Tout va bien pour nous toujours, on vient de passer la plus grande période de chaleur de ces 15 dernières années (40°C), même les locaux ont chauds, c'est dire...

Le stage se passe toujours bien même si on a pu constater que notre service n'était pas trop à jour par rapport à d'autres... Comprendre par là, que le chef aime bien la vieille école et qu'il ne trouve pas d'interêt à changer certaines méthodes. Mais on en apprend quand même beaucoup. Petit bilan d'une journée "habituelle" :

07h00 : Nous arrivons dans le service, enfilons notre super blouse de médecin par dessus nos habits civils (bonjour la T°!) et rejoignons le chef de service pour la visite quotidienne des malades. Des fois y a, ou pas, c'est l'organisation vietnamienne ! Ou plutôt, des fois c'est à 07h00, des fois à 07h15, tout dépend du traffic sur la route ! ... En tout cas, on est rôdés dans les pathologies uro-génitales en pédiatrie (c'est un peu la spécialité !).

07h30 : Réunion du staff avec les médecins d'un côté de la table, les infirmières de l'autre. Et là en gros (et en sous-titres), c'est le résumé des veilleuses (qui font d'ailleurs des gardes de 24h ... donc en fait les veilleuses, sont les infirmières ayant bossé la veille Oo). Puis le chef raconte 2-3 trucs en fonction des cas, surveillances, etc...

07h45 : Présentation en auditoire (confortable, et avec climatisation, on se croirait au Flon ! version vietnamienne...) de quelques patients opérés la veille. En gros, une trentaine dont la plupart des accidentés de la route (après avoir passé aux Urgences, j'ai décidé que je ne monterais JAMAIS sur un scooter...), des accidents de travail ou de la vie quotidienne. Le grand chef médecin ne se prive généralement pas pour faire la morale sur tel ou tel cas, au chirurgien concerné, devant 200 personnes bien sûr ! Exemple : "Comment cela se fait-il que vous n'ayez pas réagi plus tôt pour détécter une hémorragie interne chez ce patient qui s'est fait rouler sur l'abdomen par un tracteur ?!" Phuong nous fait la vost et nous, on rigole bien.

08h00 ou 08h15 ou 08h30 (c'est selon...) : nous faisons la tournée avec les infirmières. Petite précision tout d'abord : le relationnel n'existe pas. On est quasi les seuls à dire bonjour aux patients et à sourire. Cela s'explique par le fait, que le salaire des soignants est tellement misérable, qu'ils font "exprès" d'être méchant, mais reçoivent de l'argent cash de la part des familles pour bien s'occuper du malade. Spécial, mais on s'y fait. En fait, le patient ne fait que payer pour monter dans l'ambulance, pour accéder aux urgences (sinon il attend dehors sur son brancard en plein soleil, enfin, il a un parapluie, parfois, pour son confort perso, voyez), et paient encore les soignants une fois dans l'unité.

Dans les soins, pas de protocole français comme dans d'autres services (pas mal de personnel formé à Limoges et dont les méthodes s'approchent un peu des nôtres, principalement au niveau de l'asepsie). Là, c'est plutôt vas y que je te scotche ta voie veineuse avec du gros scotch où on voit rien du point de ponction, qu'on fait tout sans gants, et qu'on plante les aiguilles usagées dans le matelas si la poubelle n'est pas accessible tout de suite. Fun ! Ah, et ils recapuchonnent aussi TOUTES les aiguilles, ce qui en un sens, a sauvé un peu Shari, lorsque la poubelle à aiguilles, s'est malencontreusement renversée sur ses pieds. Nous précisons, que ce geste est de la responsabilité de la soignante, et du chariot peu coopérant et peu mobile. Heureusement pour elle, elle avait des chaussures fermées. Phuong & Moi, avons vite adopté la techinque générale, et sommes donc en tongs, toutes la journée (mais non, on sait bien qu'on est à la plage, même si la chaleur parfois...).

Au programme, quelques pansements, mais surtout des injections i/v et des solutions à préparer et pour moi (et ma grande taille) accrocher les perfusions. Pour préserver la capital veineux de leur patient, ils préférent aussi piquer 2x/jour un pauvre gosse plutôt que de lui mettre une voie... Evidemment ce dernier hurle, surtout quand elles s'y reprennent à 4x. Par contre, elles cartonnent la plupart du temps pour trouver des veines indécelables ! On essaie d'en prendre de la graine !

Perso, je me sens parfois oppressé par la foule dans les chambres : 8 patients + 8 personnes de la familles + 4 infirmières + 4 étudiantes, ça fait trop. En fait ici, les soins de base sont prodigués par la famille qui est donc super présente. Pour la relation d'aide, comme mentionné c'est plutôt "arrête de pleurer, c'est qu'une piqûre, pleure pas comme une fille, t'es vraiment lâche, etc...". Sympatique...

11h30-14h00 : les soignants font la sieste sur la table de colloc'... On le sait parce qu'on a voulu récuperer nos affaires un jour et qu'on est entré brusquement quand tous les monde dormait. Dans la salle de colloc (bis, sentez bien l'appui sur cette phrase).

Sinon, on est content d'avoir pu rester dans le même service car tout le monde nous connais maintenant et c'est un peu plus facile. L'arrivée d'étudiants médecins français nous a aussi permis de faire des rencontres sympas. Et puis comme on est un peu libre, si on veut aller visiter un autre service de temps en temps, y a pas de problème, donc de ce côté lé, c'est vraiment chouette.

D'ailleurs, on a été marqué par les chambres à 15 en orthopédie... En fait, il n'y a que 90 lits pour 130 patients... problématique et bouchons dans les couloirs !!!

Niveau vie quotidienne, on mange toujours autant, et on a toujours de la peine à avaler autant de soupe avec la chaleur ! On s'y fait cependant. La famille nous fait apprendre le vietnamien en lisant le courrier. Fous rires en perspectives. Et nous suivons activement toutes les séries quotidiennes vietnamiennes ou chinoises doublées, c'est juste mythiques. Et puis les asiatiques semblent avoir découvert les boys bands juste maintenant... Quelques excursions sympas sont prévues pour les week-ends à venir, dont la fameuse Baie d'Ha Long, que je me réjouis de faire découvrir à Shari & Phuong qui n'y sont jamais allées ! J'ai fait une excursion by myself hier dans la campagne, c'était grandiose mais la chaleur (et les 120 marches, mais j'avoue, j'ai pris la télécabine à la montée, c'était comme à la maison ! "made in Switzerland") a failli me faire claquer (genre un pouls à 120 alors que j'étais assis depuis 45 minutes dans un bateau lol). Quelques litres d'eau plus tard et c'était réglé, mais chaque mouvement devient épuisant !

Et ce midi, par un concours de circonstance qu'il serait trop long d'expliquer, nous avons dîné chez l'ambassadeur de Suisse... Maison gigantesque, domestiques, champagne et chauffeur privé : après avoir bu le thé avec le directeur de l'hôpital, on fait vraiment des rencontres incroybales !!!

Voilà tout pour le moment, bonne suite à tous !

Stellio, Phuong & Shari.

samedi 26 juin 2010

Point G Bamako

Voilà, déjà la mi_stage!

Enfin déjà... Je pensais pas en voir autant en si peu de temps, les premières semaines étaient déjà assez forte au niveau des plaies et autres...
Notre troisième semaine a commencer avec une garde, donc on commence a 8h le matin pour finir le lendemain à la même heure... Et là on en a vu des choses!! La notion d'urgence n'a pas du tout la même signification que chez nous! Ici c'est plutôt relax... rien n'est vraiment urgent, quand on demande les brancardiers d'urgences pour amener un patient au bloc, on peu attendre 20mn pour voir arriver un bonhomme seul et sans brancard, et c'est reparti pour 20mn d'attente pour qu'il trouve un collègue et se souvienne où il a ranger son fichu brancard!!! Nous avons vu arriver une femme Albinos avec un cancer du sein et une plaie ulcérée et nécrosée qui lui prenait la moitié du flan...Une femme nous a montré son enfant avec un prolapsus rectal de plus de 10 cm...Et j'en passe! Non la chirurgie ça vaut vraiment le détour!

Puis nous avons fini la semaine au bloc. Quand c'est pas les anesthésistes qui manquent, c'est le chirurgien, et quand tout le monde est enfin réuni, on se rend compte que le patient a disparu ou alors que ce n'est pas le bon bloc.Ce qui est marrant c'est que même en pleine intervention, si le portable sonne, ben ici tout le monde répond...(Alors que chez nous si on a le malheur que ça sonne...) Ceci sont les petites anecdotes de tout les jours, mais quand ils opèrent, ils sont vraiment doué et nous apprennent énormément, ils prennent vraiment le temps de nous expliquer leurs gestes et la pathologie! La dernière en date était une splénomégalie, la rate du patient descendait jusqu'au pubis, elle faisait selon le chir 6 à 8 fois sa taille normale et pesait 5 kilo!

Voilà pour nous , pour ma part je vais rester en Chirurgie, et Léonie va aller un moment en Gynéco- obstétrique...

Christian et Léonie